Kim

education de 2 soumises

Je suis coréenne. A 18 ans, j’ai quitté mon pays pour une formation de vétérinaire à Nantes. Je suis issue d’une famille bourgeoise d’Icheon à coté de Séoul. J’ai hérité du physique de ma mère, mi Manchou, mi Mongole. Elle a longtemps travaillé de comme mannequin dans une importante agence de Séoul. Aujourd’hui encore c’est une très belle femme, très élégante. Elle m’a appris à jouir de la vie, à apprécier les SPA les beau magasins de luxe, à être royalement servie. Mon père descend d’une longue lignée de militaires et dirige une grosse entreprise de mécanique. Avec lui, être la première, être parfaite est le minimum acceptable. Il m’a élevé à la baguette. Mon grand paternel avait fait carrière dans les forces spéciales de l’armée Coréenne. Il m’a appris à me débrouiller seule quelque soit la situation. Il m’a aussi appris à me battre à main nu, avec des armes blanches ou des armes à feux. Pour lui, soit on est fort soit on est dominé. Quand j’ai eu huit ans il m’a emmené en montagne sans carte, sans nourriture sans eau, sans rien et m’a montré le haut d’une montagne et pour m’indiquer où se trouvait notre repas. C’était moi la cheffe. Nous avons bu aux points d’eau que je découvrais. Ce soir-là, nous avons tous les deux dormi dans la montagne sous un grand sapin, le ventre vide. Il ne m’a pas aidé, il n’a pas parlé durant toute cette expédition. Il était juste présent pour garantir ma sécurité.

A mon arrivée en France, Mon père m’offre une belle maison sur les bords de l’Erdre, une rivière proche de l’école. II me fournit aussi une généreuse bourse pour subvenir à tous mes besoins matériels. Pendant ma première année, je décide de prendre une femme de ménage. Mon manque de maitrise de la langue française rend ma formation très difficile. Je suis épuisée. Une agence m’envoie plusieurs candidates qui restent quelques semaines avant de me quitter ou avant que je les renvoie pour incompétence. La dernière est une grande métisse, fine, aux formes féminines, le regard haut et fier, une petite bouche aux lèvres pulpeuses. Un croisement entre une guerrière Masaï et la sensualité Italienne. Sa peau est assez claire et elle a des mains de pianistes. Elle a de longs cheveux noirs ondulés mais non crépus. Elle fait un travail convenable. Elle présente bien, a une attitude polie et respectueuse. L’appartement est propre. Le soir un repas m’attend. Je n’en demande pas plus. Je peux me consacrer à mes études. Je ne la croise que très rarement. J’utilise le terme « hanyeo Â» ou « femme de ménage Â» en coréen pour lui parler.

Un soir, je ne rentre pas chez moi. J’assiste mon professeur pour un vêlage difficile. Il dure toute la nuit et finit au milieu de la matinée. Le veau est mort-né. Mon professeur me demande de rentrer chez moi pour me reposer. Il me dispense des cours du jour. Je suis fatiguée, abattue et très en colère ne pas avoir pu sauver l’animal. J’ai du sang séché sur le visage, les mains et les vêtements. Je rentre chez moi. J’entends du bruit et des voix sans pouvoir en identifier l’origine. Je prends un gros couteau de boucher coréen et une longue baguette de bambou. Pourquoi une baguette de bambou ? Je ne sais pas. Je retire mes chaussures pour ne pas faire de bruit et je me dirige vers l’origine du bruit. Je ne pense même pas à sortir et appeler la police. Je suis fatiguée et dans un pays que je ne connais pas bien. De plus avec l’éducation de mon grand-père, je ne compte que sur moi-même. Appeler à l’aide c’est faire preuve de faiblesse. C’est déshonorant. L’origine du bruit vient de ma chambre. La porte n’est pas fermée. Je vois ma femme de ménage assise sur mon lit, jambes écartées avec une autre fille que je ne connais pas accroupie devant elle en train de lui lécher le sexe avec une de mes culottes sur la tête.

Hanyeo suce et lèche mon vibromasseur. Normalement je le range dans le tiroir fermé à clef de ma table de nuit. Ce spectacle me rend folle de rage. Je rentre dans ma chambre en hurlant des insultes en coréen et en brandissant mon couteau pour les attaquer. Surprise, les deux sautent se cacher immédiatement de l’autre côté du lit. Une fois les avoir copieusement insultées en coréen, je continue en français.

- Hanyeo, espèce de grosse salope de lesbienne… Que fais-tu ici avec cette putain ?... Espèce de garce... Voleuse… Tu as fouillé dans mes affaires… Je vais vous tuer toutes les deux.

Je veux vraiment les tuer, je suis terriblement en colère. Les deux filles devant moi ne disent rien, ne font rien. Elles restent derrière le lit. C’est vrai que je suis avec un gros couteau de boucher, hurlant dans un langage inconnu et des traces de sang partout sur le corps. Pas vraiment rassurant pour deux filles nues dans un appartement qui n’est pas le leur. Je regarde hanyeo droit dans les yeux et je lui demande calmement.

- Tu suces mon vibromasseur, elle a bon gout ma chatte ?

Elle ne répond pas. Alors je hurle.

- Tu veux ma chatte ?, … répond espèce de sale négresse.

Elle fait timidement oui de la tête. Je pose ma baguette de bambou sur le lit, j’enlève ma culotte sous ma jupe avec une main, en gardant mon couteau menaçant, puis je reprends ma baguette. Je crie.

- Viens me bouffer la chatte salope, viens à quatre pattes.

Je me pense totalement hétérosexuel. Je ne ressentais aucune attirance pour les femmes. Je veux juste voir jusqu’où elle accepte d’aller. De plus, j’ai un gros appétit sexuel. C’est pour cela que j’ai toujours des sex-toy à portée de main.

Elle vient vers moi en tremblant. J’écarte les jambes, elle glisse sa tête sous ma jupe et commence doucement à me lécher. Quand elle place ses mains sur mes fesses, je lui frappe violemment le dos avec ma baguette et je crie.

- Pas touche.

Sur le coup, elle hurle de douleur et sa réaction de recul me déséquilibre.

- Continue.

Elle s’exécute. Je regarde l’autre fille. Je lui donne l’ordre de venir à mes pieds à quatre pattes et de rester assise devant moi. Je suis tellement tendue que je ne prends aucun plaisir à la langue qui s’occupe de moi. Je m’assois sur le lit et repousse violement hanyeo du pied. Je la regarde par terre ave dégout.

- Tu ne sais même pas donner du plaisir espèce de singe vicieux.

Je regarde l’autre fille.

- A ton tour, montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue. Mains derrière le dos.

Elle s’approche de moi, sur les genoux, et commence à me donner des coups de langue. Je fais signe à Hanyeo de s’approcher de moi en restant par terre. Je pose mon pied sur sa tête et la force à rester au sol. Voyant que je contrôle la situation, je pose le couteau sur le lit tout en gardant la baguette et commence à me détendre. Au bout de quelques minutes, je m’adressée à femme de ménage, toujours à terre, tête sous mon pied.

- Elle est plus experte que toi ta copine.

Il lui faut une bonne demi-heure pour qu’elle me donne mon premier orgasme. A ce moment la colère m’a quittée et je me sens excitée par la domination de ces deux chiennes. Une fois l’orgasme consommé, je repousse la fille du pied. Je lui demande de me suivre. Je l’envoie préparer un repas.

J’ai grand besoin d’une douche et je ne veux pas laisser les deux ensembles. Je demande à la fille toujours nue de me laver. Elle ressemble à ma femme de ménage avec un regard plus doux, plus soumis. Elle a une demie tête de plus que moi. Je suis surprise par la tonicité de sa poitrine. Une belle poitrine ronde totalement insensible à la pesanteur. Une vrai pub pour une clinique en chirurgie esthétique. Curieuse, je la palpe. Elle se laisse faire et fait son possible pour me faciliter l’inspection ; rien d’artificiel, que du naturel. Pendant qu’elle me savonne le corps avec beaucoup de douceur et de sensualité, je prends le temps d’analyser la situation. Je ne sais pas quoi faire. Virer les deux filles et chercher une autre femme de ménage ? Elles ne me semblent pas dangereuses. Elles semblent au contraire avoir peur de moi. Il y a même de la soumission chez elles. Cette situation attise ma curiosité. Je me demande jusqu’où je peux aller avec elles. C’est vrai que j’ai un côté dominatrice avec tout le monde et surtout avec les garçons. Malgré mon orgasme, je ne ressens aucune attirance pour elles.

Alors que je me perds dans mes réflexions, je sens une bouche se mettre sur mon sexe. Je prends violement la fille par les cheveux pour la repousser, je la gifle avec force.

- Tu te crois où ?

Elle n’ose plus me toucher et attend sans bouger. Une larme glisse sur sa joue. C’est à ce moment que je prends ma décision. Je leur proposerai soit de partir définitivement soit de rester toutes les deux à mon service. L’idée de les dresser comme des animaux domestiques commence à émerger.

Dans la cuisine il y a trois assiettes sur la table. Hanyeo est habillée, mais l’autre, sortant de la douche est toujours nue. Je lui ordonne de rester nue. Elle m’obéi. J’explique ensuite que moi je mange et qu’elles me servent en silence. Je garde ma baguette de bambou en permanence.

- Maintenant vous m’appellerez « Yeowang ». Avez-vous compris ?

- Oui.

J’administre à chacune un coup de baguettes bien appuyé sur les jambes. La douleur les fait sauter en l’air. Je leur dis.

- Oui Yeowang

Elles répondent en cœur.

-              Oui Yeowang.

Hanyeo me sert à manger et l’autre me verse de l’eau dès que mon verre est vide. Pendant tout le repas, je réfléchis à la manière de présenter ma proposition. Il ne faut aucune ambigüité sur la signification du mot « service Â». Mon assiette vide, je réclame un thé. Elles se précipitent maladroitement m’en faire un. Une fois le repas terminé, je m’installe dans mon canapé et leur fait signe de me suivre et s’assoir par terre devant moi.

- Je vais vous faire deux propositions. Un, vous vous habillez et vous partez définitivement de chez moi. Deux, vous restez et vous vous mettez entièrement à mon service. Vous aurez un salaire normal, et vous devrez m’obéir sans jamais discuter. Compris ?

- Oui Yeowang.

En parlant, je joue avec ma baguette de bambou. Après plusieurs minutes elles ne bougent toujours pas. Je demande à la fille de recommencer à me lécher, les mains derrière le dos. Je tends ma baguette à Hanyeo.

- Tiens, motive ta copine avec.

A chaque coup de bambou donné, je ressens la langue tressaillir sur mon sexe. Ma femme de ménage fait claquer la baguette sur le cul noir de sa copine avec énergie. Je jouis beaucoup plus vite et plus fort que la première fois. Elle est experte pour donner du plaisir. Comme la première fois je la repousse avec le pied sans ménagement. Je m’adresse à l’autre.

-              met un doigt dans la chatte de ta copine et montre-moi.

Le doigt est mouillé. Je m’adresse à la fille.

-              Lèche ta cochonnerie.

Elle suce le doigt de sa copine. Je fais la même demande à Hanyeo.

-              Approche-toi et montre-moi ta chatte.

Je glisse un doigt dans son sexe brulant et trempé. Elle le suce pour le nettoyer. Je suis fatiguée. Je me rends dans ma chambre. Je sors deux couvertures que je place de chaque côté du lit.

- Maintenant, c’est votre couche. Je vais dormir un peu. Vous restez sur votre couverture sans bruit.

Dans le doute, je garde mon couteau sous mon oreiller. A mon réveil, en fin d’après-midi je les trouve chacune en boule sur sa couverture.

- Alors vous voulez rester ?

- Oui Yeowang

Je leur donne leurs nouveaux noms : Changbu pour ma femme de ménage et Amkae pour l’autre. C’est du coréen. Cela veut dire « putain Â» et « salope ». Yeowang signifie « maitresse » ou « princesse ». Ensuite, pendant que je travaille mes cours elles font le ménage et le repas. J’inspecte ensuite l’appartement. Elles reçoivent un coup de baguette chaque fois que ce n’est pas parfaitement propre. J’étudie tard dans la soirée et elles me servent le repas à mon bureau.

Je travaille de longues heures tous les jours pour réussir. Face à ma famille j’aurai honte de ne pas être dans les premières de ma promotion. Avant de dormir je donne une nouvelle chance à Changbu de me faire jouir tandis qu’Amkae la motive avec la baguette. J’ai l’impression qu’elle retient ses coups. Changbu réussit à m’amener jusqu’à l’orgasme. Avant d’aller me coucher je donne mes instructions :

1)   Vous devez toujours être parfaitement propres soignées, totalement épilées et parfaitement maquillées en ma présence et correctement habillée.

2)   La journée vous êtes libres mais vous devez être présentes à mon retour, à m’attendre à la porte.

3)   Vous ne pourrez jouir, vous caresser ou vous masturber qu’avec mon accord.

4)   L’appartement doit toujours être impeccablement propre.

5)   Vous dormirez par terre au pied de mon lit ou dans le bureau suivant mes instructions.

6)   Le matin vous devez vous lever sans me réveiller pour me préparer le petit déjeuner.

- Avez-vous des questions ?

- Non Yeowang.

- Acceptez-vous ce règlement ?

- Oui Yeowang

- Maintenant vous allez me donner du plaisir?

- Oui Yeowang.

Je me place debout, jambes écartées. Je place une fille sur mon sexe et autre sur mon cul. Elles ont le droit de se masturber en me léchant la chatte et l’anus. Si l’une d’elle jouit avant moi, elle sentira ma baguette. Avoir une langue devant et une autre derrière est une très belle expérience. Je me retiens le plus longtemps possible le bambou prêt à rentrer en collision avec leur peau sombre. mais ensemble elles sont plus fortes que moi.

Ma nuit est remplie de rêves érotiques. Je me réveille plusieurs fois toute humide et excitée. A chaque fois, je réveille une fille du bout du pied pour qu’elle me soulage de sa langue.

Le lendemain, à mon réveil, le déjeuner est prêt, les filles debout dans la cuisine prête me servir. Pendant que je mange, une fille passe sous la table pour me lécher.

Le premier soir est difficile pour elles. A mon retour elles m’attendent bien habillées, bien maquillées. Je les trouve même jolies. Pas au point de vouloir les toucher mais jolie quand même. Je les fais se mettre toute nue. Ensuite une fille m’enlève mon pantalon et ma culotte pour me lécher pendant que j’inspecte l’autre comme on inspecte une bête. A chaque poil trouvé un coup de bambou tombe. Chaque ongle de main ou de pied pas parfaitement coupé et verni, un coup. La peau des pieds est sèche et rugueuse, un coup par pied, le rouge à lèvre pas impeccablement appliqué, un coup, etc. Les filles inversent les rôles. L’inspection de l’appartement n’est pas mieux. Ce premier soir, les deux corps chocolat au lait sont zébrés de marques rouges. Elles ont toutes la soirée pour tout corriger pendant que j’étudie. La deuxième inspection est parfaite.

Je me place dans le canapé. L’une après l’autre, mains derrière le dos, me donne un orgasme. A chaque fois, après avoir joui, je les repousse du pied, sans un mot. Quand l’une s’occupe de moi, l’autre attend assise en position seïza. C’est la position utilisée au judo ou pour d’autres arts martiaux : genoux à terre, fesses sur les talons, le dos et la tête droite et les mains posés sur les cuisses doigts dirigés vers l’intérieur. Elles me donnent du plaisir et pourtant, je ne supporte pas l’idée de leurs mains sur moi, sauf pour me laver. Je ne ressens que du dégoût pour l’amour lesbien. Je reste assise à me reposer. Les deux filles sont à mes pieds sans rien oser faire. Changbu prend la parole.

- Yeowang ?

- Oui.

- Voudriez-vous une manucure ?

- Oui, faites.

Une fille à chaque main, elles me font les ongles, me mettent du vernis, puis me massent les mains avec de la crème hydratante. Je m’assoupis pendant leurs soins. Quand j’ouvre les yeux, elles couvrent mes mains de baisers. C’est très excitant. Je demande qu’elles m’apportent mon vibromasseur. Leurs langues sont très bien mais elles ne remplissent pas bien la chatte.

- Les filles, je vous autorise à jouir. Montrez-moi comment vous faites.

Changbu s’adresse à Amkae.

- Viens me bouffer la chatte grosse salope.

Elle écarta les cuisses et Amkae se précipita lui donner du plaisir. Après un premier orgasme, Changbu se met sur le ventre et lève son bassin, les fesses bien en hauteur.

- Nettoie-moi le cul maintenant.

Amkae se met derrière elle, lui écarta les fesses et se met à lui lécher l’anus pendant que Changbu se branle le clitoris. Quand Changbu en a assez, elle dit à Amkae.

-              Tu peux prendre mon pied pour te finir espèce de trainée.

Changbu s’allonge sur le dos. A ma grande surprise Amkae prend le pied de Changbu, lui sucer le gros orteil et se place à califourchon sur son pied. Elle utilise son gros orteil pour se branler le clitoris en le glissant dans son sexe pour jouir à son tour. Je comprends qu’Amkae est la soumise de Changbu. Avec moi elle change juste de maitresse. De mon côté le spectacle et le vibromasseur m’ont fait jouir plusieurs fois. Cela me donne une idée bien vicieuse et bien excitante. J’écarte les cuisses.

- Amkae, tu vas venir me lécher la chatte. Toi Changbu tu lècheras le cul de ta copine. Amkae, si tu jouis avant moi, Changbu te donnera 10 coups de baguettes, Si tu jouis après moi c’est que Changbu n’a pas été à la hauteur et tu lui donneras 10 coups de baguettes. Changbu, tu as déjà léché le cul de ta copine ?

- Non Yeowang.

- Et la chatte ?

- Une seule fois Yeowang.

- Et moi, Changbu, tu aimes me lécher ?

- Oh oui Yeowang, tout ce que vous voulez, autant de fois que vous le voulez.

- Aller en place.

Amkae semble ravie, mais pas Changbu. Amkae donne le meilleur et malgré tous les orgasmes de la soirée, elle n’est pas longue à me faire monter au septième ciel. Malgré ses efforts, Changbu a perdu.

- Changbu. Je vais te motiver avec ma baguette pour que tu fasses jouir Amkae.

J’assène un bon coup sur ses fesses fermes et rebondies. Elle pousse un cri de douleur. Elle redouble d’effort. Amkae trémousse son cul sous les coups de langue et lâche un énorme pet sonore. Changbu retire immédiatement la tête des fesses odorantes. Je lui donne un nouveau coup de baguette bien appuyé. Nouveau cri de douleur.

- Tu n’as pas fini, continu.

Elle se remet à l’œuvre. Deux ou trois coups de baguettes plus tard, Amkae est traversée par les spasmes d’un violent orgasme. Elle donne ensuite à Changbu les 10 coups de baguettes promis. Depuis le début de la soirée, Changbu a reçu beaucoup de coups. Son corps est marqué par de longs traits rouges sombres. Je la sens au bord de la rupture. Je me m’assoie, Changbu à quatre pattes devant moi, sa joue posée sur ma cuisse. Je demande à Amkae de chercher de la crème et de lui passer sur tout le corps pour la soulager. Pendant qu’Amkae s’occupe d’elle, je lui caressais la tête. Je sens toute sa tension disparaître. Des larmes coulent sur ses joues.

- Merci Yeowang.

Nous allons dormir. Je réalise qu’Amkae est déjà parfaitement soumise, mais à qui ? A moi ou à Changbu ? J’ai donc deux objectifs, faire de Changbu un bon animal domestique et devenir la maitresse d’Amkae.

Les jours passent et j’utilise de moins en moins ma baguette. Ce n’est pas un but pour moi, juste un moyen. Cependant je remarque que les coups de bambou manquent aux filles alors la pratique reprend épisodiquement. Je leur offre un collier de chien de luxe avec leurs noms dessus. Elles doivent le porter en permanence à la maison.

Ensemble nous allons voir un coach sportif et nutritionniste. Il définit un strict programme d’entrainement accompagné d’un régime faible en calories pour atteindre un corps digne des mannequins spécialisés en dessous féminin : poitrine tonique, fessiers fermes, cuisses fines, ventre plat et musclé. Toutes les semaines, devant le coach et moi-même, elles passent à la balance, leurs mensurations sont strictement mesurées et suivit. Une punition en cas de non-respect des objectifs est définie : se soumettre une journée entière à tous les désirs du coach. Je sais à son regard, à la façon de les toucher qu’il ne se contentera pas de leur faire faire le ménage chez lui. Elles m’ont expliquée avoir un total dégout pour les hommes. Hélas pour lui, elles suivent le programme avec le plus grand sérieux, et ne sont jamais prises à défaut.

Rapidement les résultats sont là. Leur peau est belle et lumineuse, exempte de tout défaut, quelques kilogrammes en moins et surtout beaucoup de centimètres perdus un peu partout. Leur visage s’est aussi légèrement affiné.

Leur garde robes n’est plus adaptée à leur nouvelle morphologie. Ensemble nous allons chercher d’élégantes tenues pour m’accompagner à l’extérieur et une tenue pour l’intérieur. Un uniforme de soubrette minimaliste trouvée dans une boutique érotique. Je prends goût à faires les boutiques avec mes deux chiennes.

Une routine se met tranquillement en place. Le matin une fille me prépare le petit déjeuner. Une autre me réveille en me massant et m’embrassant les pieds. Suivant mon humeur, elle remonte pour m’offrir un orgasme, ou juste me lécher le cul, au choix. Je passe ensuite au petit déjeunée. L’autre fille attend mes instructions sous la table. Je peux lui demander le me bouffer la chatte, de me masser les pieds ou juste de s’allonger, pour que sa poitrine nue me serve de repose pied. C’est chaud et confortable. Mes orteils jouent souvent avec les tétons offerts. Elles me font ma toilette, me maquillent, m’habillent. En fin de journée, à mon retour, elles m’attendent debout à la porte pour m’accueillir. Elles me débarrassent de mes vêtements superflus, m’enlèvent mes chaussures et m’enfilent mes tongs. Ensuite, je fais une inspection corporelle et un tour de la maison, baguette en main. Je peux aussi leur demander une douche ou un massage. Quand je suis fatiguée ou après une bonne séance de sport, j’apprécie qu’elles me massent et me lèchent les pieds. Cela dure de quelques minutes à plus d’une heure et gare si je sens un manque d’enthousiasme. Je me consacre ensuite à mes études. Après le diner, j’ai le droit à ma séance complète d’esthéticienne : massage, gommage, épilation, manucure et pédicure etc.. Je n’ai jamais eu les mains et les pieds aussi doux de ma vie et aussi bien soignés. Enfin le soir, je m’autorise quelques orgasmes avec mes deux sex-toy vivants.

Je leurs offre plusieurs formations : cuisine française, cuisine coréenne, massage, soins corporelles. En cherchant, j’ai découvert des stages de maintien, de savoir être en société, et de discussion. Elles ont maintenant une démarche élégante, un parler impeccable. Elles me conseillent pour le choix de mes toilettes. J’aime à sortir avec elles faire les boutiques. Elles ne sont plus les filles mal éduquée, des mauvais quartiers. Elles s’intègrent parfaitement dans les boutiques les plus chics de la rue Crébillon. De vrais bourgeoises noires, avec un je ne sais quoi de pédant. Je me place souvent quelques mètres derrières elles, pour voir les réactions à leur passage : les hommes et certaines femmes ont un regard concupiscant voir lubrique, les épouses regardent avec dédain et jalousie. D’après elles, on se retourne beaucoup à mon passage aussi.

Face à leur transformation, je les présente à une agence de mannequins du centre-ville. A ma grande surprise on leur propose rapidement un contrat pour trois demi-journées par semaines. Elles posent pour des catalogues d’articles venant de chine : vêtements, lingerie, chaussures, bijoux, accessoires… et essentiellement à destination de l’Afrique. Elles sont belles et sexy sur les photos. Rien à envier à d’autres grands modèles connus. On leur propose aussi des séances plus érotiques. Je refuse.

Auteur:Didier

Gwen creation