Kim2 -2-
La baule
Un mardi après-midi de juin, nous flânons
à la Baule, les filles ont les bras chargés de nos emplettes. Nous nous posons
sur la terrasse des Cannetons, un agréable restaurant de plage, pour prendre un
rafraichissement.
-
Vous vous baignerez avec moi les filles ?
-
Avec plaisir Yeowang, mais nous se savons pas
bien nager.
-
Pourtant vous vivez près de la mer.
-
Yeowang, nous ne sommes jamais sortis de notre
quartier avant de vous connaitre.
-
Ah ! Changbu, j’ai une question personnelle
pour toi.
-
Oui Yeowang ?
-
Amkae était ta petite amie ?
-
Oui Yeowang.
-
Elle était ta soumise et toi la maitresse. Je me
trompe ?
-
Non Yeowang.
-
Maintenant tu es ma soumise comme Amkae. Ce
n’est pas trop dur de passer de maitresse à soumise ?
Amkae écoute avec beaucoup d’intérêt. Changbu rit un
instant, embrasse Amkae sur la bouche et me regarde intensément.
-
Amkae est devenue ta soumise, mais elle reste
encore ma soumise. Quant à être votre esclave ? J’aime ma nouvelle vie.
Vous nous faites connaitre un nouveau monde. Et puis vous êtes une femme avec
une très forte personnalité, une femme intelligente. Vous êtes tellement belle,
tellement sexy. Je vous admire. C’est la première fois que je rencontre une personne
qui me domine naturellement, sans effort. Et puis, … depuis mon coup de foudre
pour vous, je ne cesse de vous aimer. J’aime vous servir, vous faire jouir.
Sans vous, cet après-midi je serai dans mon quartier pourri ou à faire des
ménages. Je suis bien ici à faire les beaux magasins avec vous, à porter vos
paquets, à prendre le thé sur la plage.
-
Si vous voulez, tout à l’heure, je vous
apprendrais à nager.
Le cours de natation se passe rapidement.
Les filles n’ayant pas d’appétence pour la baignade. Je prends mon temps pour
nager sur de longues distances. Au sortir de l’eau, les filles m’attendent avec
des serviettes. Je m’allonge sur la plage pour un bain de soleil. Elles
prennent soin de m’appliquer de la crème solaire et finissent par un massage complet.
Je m’assoupis sous leurs mains expertes. Je sens parfois un doigt ou une main
se glisser sous mon maillot de bain déjà ridiculement petit. Amkae prend le
temps de bien me masser les pieds. J’entends une voix féminine et riante
au-dessus de moi.
-
Quand vous avez fini avec votre copine vous
pouvez vous occuper de moi ?
J’ouvre les yeux. C’est une femme blonde,
d’une trentaine d’année, très jolie, un grand chapeau de paille et sac de plage
d’une luxueuse maison de couture. : Une caricature de bourgeoise locale.
-
On est au service excessif de notre maitresse.
La femme me regarde.
-
Elle a bien de la chance. (petite pause) Vous
aussi d’ailleurs, elle est canon votre maitresse d’après ce que je vois. A plus
les filles.
-
Bonne après-midi Madame.
La femme s’installe à une dizaine de
mètres de nous. Discrètement je parle à Changbu.
-
Si vous voulez, vous pouvez proposer vos
services. Elle en sera ravie.
-
Cela ne vous dérange pas Yeowang ?
-
Non au contraire, allez-y, faites la mouiller.
Donnez-lui discrètement un orgasme. Je vous regarde.
La plage est immense, et les vacances
n’ont pas encore commencées. Il y a très peu de monde autour de nous. Mes
filles abordent la bourgeoise, discutent et s’installent autour d’elle. Elles
commencent à appliquer la crème solaire. Je vois leurs mains s’aventurer à
l’intérieur des cuisses. Je vois la femme frissonner, ses orteils se crispent.
Son soutient gorge est dégrafé avant qu’elle se retourne sur le dos. Avoir les
seins nus est habituel sur cette plage. Amkae s’occupe du buste avec une
attention particulière sur sa poitrine. Changbu s’occupe des jambes, surtout le
haut. Parfois, la femme repousse mollement une main trop envahissante. Je vois
son corps se tendre de plus en plus. Elle saisit son paréo pour le placer sur
son sexe où Changbu se focalise exclusivement. Son dos s’arque boute
légèrement. Ses pieds sont tendus. Elle glisse sa main sur la cuisse d’Amkae.
Autour personne ne prête attention à ce qui se passe. Doucement, je vais vers
elles. Me voyant, Changbu me fait signe d’attendre. Un hochement de tête de sa
part, elle m’informe que l’orgasme ne peut plus être contenu. Je fais un
dernier pas.
-
Tout se passe bien ici ?
La femme a les yeux révulsés. Elle mord la
sangle de son sac pour ne pas crier. Son corps est tendu comme un arc. Sa main
s’enfonce dans la cuisse d’Amkae. Je me place au-dessus de sa tête.
-
Quelque chose ne va pas Madame ?
Elle reprend ses esprits avant de
répondre, le souffle court et haletant, rouge comme une pivoine.
-
Tout va bien… C’était merveilleux. S’il vous
plait, installez-vous à côté de moi. Je m’appelle Bérengère.
-
Moi c’est Kim, enchanté de te connaitre
Bérengère.
Mes filles ont le sourire jusqu’aux
oreilles. Avec mon approbation Amkae va chercher nos affaires et je m’installe
près de la blonde. Elle s’adresse aux filles.
-
Si votre maitresse vous répudie, ma porte vous
est toute ouverte.
Nous rions toutes les quatre. Nous passons
la fin de l’après-midi à discuter. Avant de partir, nous prenons un dernier
bain. Loin du bord, elle s’approche de moi.
-
Kim, Je sais que je ne devrais pas. Depuis que
je vous ai vu, je désire vous embrasser. Puis-je ?
A mon tour d’être gênée. Elle est très belle,
attirante. Je ne dis rien, je n’avance ni ne recule. Elle vient vers moi, met
ses bras autour de ma taille et m’embrasse avec volupté. Sa langue passe sans
résistance le barrage de mes lèvres. Je me laisse aller à son étreinte.
A notre retour sur la plage, Changbu se précipite
vers moi inquiète.
-
Yeowang, vous allez bien ? Vous sembliez en
détresse au loin…. Heureusement que Madame Bérengère vous a prodigué une
assistance respiratoire. Ça va mieux ?
Changbu, Amkae et Bérengère éclatent d’un
grand rire sonore En riant je tente de frapper Changbu qui esquive rapidement.
Bérengère nous invite au restaurant ce soir.
-
Mon mari ne revient que vendredi. Je suis seule
et ma maison est grande. Vous êtes les bienvenues pour la nuit. J’aurai plaisir
à vous voir accepter mon invitation.
Elle nous désigne une belle maison bourgeoise typique
de la baule, tout au bout de la plage. J’hésite. De leurs yeux, les filles me
supplient d’accepter.
-
Nous n’avons pas prévu de rester. Nous n’avons
aucun change.
-
Donnez-moi vos mensurations et je fais livrer
des vêtements pour vous.
Demain, mon premier cours est à onze heures. En partant
tôt, je serai largement à l’heure pour me changer et me rendre à l’école. De
plus, Je n’avais pas prévu de travailler ce soir. D’ailleurs je prévoyais de
manger ici avant de repartir sur Nantes. J’accepte. Bérangère passe un coup
téléphone et nous nous rendons chez elle par la plage, sauf Changbu chargée de
nos achats du jour qui prend la voiture. A notre arrivée, Changbu nous attend.
Bérangère me propose de nous doucher. Elle nous amène dans une immense salle de
bain avec une double douche Italienne ouverte des deux côtés.
-
La douche est pour deux. Je peux t’accompagner
Kim. Nous allons gagner du temps.
Je demande d’une voix faussement naïve.
-
Nous sommes en retard ?
Bérengère s’approche de moi, plaque ses lèves contre
les miennes, glisse sa langue dans ma bouche et commence à me déshabiller. Je
la déshabille à mon tour. Je fais signe aux filles de nous rejoindre.
-
Et à quatre sous la douche nous serons encore
plus rapide, tu ne crois pas Bérangère ?
-
Effectivement tu as raison.
Tout le monde savonne tout le monde. Les lèvres se
rencontrent, les langues se mélangent. Bérengère descend gouter à mon intimité.
Les filles s’occupent de moi. Je jouis dans la bouche de notre hôte. Je délègue
Amkae pour lui rendre la pareille. Tout se finit dans une immense bataille
d’eau. Je fais remarquer sur le ton de l’humour que nous n’avons pas
spécialement gagné de temps.
Nous trouvons sur le pas de la porte un colis
contenant de la lingerie sexy ainsi que trois robes simples et élégantes.
Nous nous rendons en taxi au Castel Marie Louise.
Excellent restaurant gastronomique avec vue imprenable sur la baie et sur un
magnifique couché de soleil. Avec Bérengère nous partageons un plateau de
fruits de mer. Les filles sont plus viande. Entre nous, la discussion reste
coquine, pleine d’allusions érotiques.
De retour à la maison, nous sommes toutes les quatre
complètement désinhibées. Bérangère nous installe dans le salon et va préparer
du thé. Elle revient avec un plateau chargé et fait le service.
Durant le repas, j’ai pris le temps de l’écouter, de
comprendre ce qu’elle désire, ce qu’elle fantasme. Une fois bien installées, je
fais un petit geste discret à mes filles. Elles posent leurs tasses, s’assoient
sur le tapis, devant moi, me déchausse et commence à me masser les pieds et me
sucer les orteils. Je continue à parler naturellement à Bérengère qui rougit
devant la scène.
-
Ce soir voudrais-tu réaliser un fantasme ?
Elle hésite et rougit.
-
Je ne sais pas… Oui peut être.
-
Tu m’en parles ?
-
….
-
Ça t’excites de voir mes deux négresses à mes
pieds ?
-
Oui.
-
Mais ce n’est pas ton fantasme n’est-ce
pas ?
-
Tu as raison Kim.
-
Et glisser ton museau entre mes cuisses et me
donner du plaisir autant que je veux ?
-
Oui aussi.
-
Mais ce n’est pas vraiment ton fantasme n’est-ce
pas ?
-
Oui Kim.
Mes pieds jouent avec les bouches de mes deux
chiennes. Bérengère est hypnotisée.
-
Bérengère, dis-moi ce que tu veux et tu l’aura.
Elle prend le temps pour répondre. Se reprend
plusieurs fois.
-
Kim, je suis sûr que tu sais ce que je veux.
-
Surement, mais tu dois le demander toi-même.
-
Je désire me soumettre aux désirs d’une de tes
filles.
-
Tu veux être une petite salope blanche soumise à
une négresse ?
-
Oui.
Je place mon pied sur le front de Changbu et lui
redresse la tête.
-
Elle te plait la blondasse ?
-
Oui Yeowang. (grand sourire carnassier de
Changbu).
-
Elle veut être ta soumise. Acceptes-tu ?
-
Si Yeowang le permet, oui.
-
Tu devras tout faire devant moi, et tu n’as pas
le droit de jouir sans ma permission. Tu ne l’abime pas trop. Pas de traces.
Avec le plat de mon pied, je lui tapote la joue.
-
Va t’amuser avec ton nouveau jouet, bonne petite
chienne.
-
Merci Yeowang.
Bérangère est rouge et gigote de gêne ou
d’excitation dans son canapé. Changbu se lève, imposante, se dirige vers elle.
Elle prend une voix forte et autoritaire.
-
Maintenant tu ne t’adresses à moi que lorsque je
t’autorise. Tu me vouvoies, tu m’appelles maitresse. Tu gardes la tête baissée.
Interdiction de me regarder dans les yeux. Tu es ma petite putain. Maintenant A
poil salope.
Bérengère se déshabille et se place debout devant sa
nouvelle maitresse, tête baissée.
-
Fourre toi un doigt dans ta chatte et présente
le moi.
-
Oui maitresse.
-
Tu mouilles comme une salope. Maintenant glisse
ton doigt dans le cul d’Amkae et branle le.
Amkae présente son cul à la blonde qui la pénètre
facilement. Pendant les vas et viens, elle tortille du fessier de contentement
tout en continuant à servir mes pieds.
-
Reviens ici putain. Et suce ton doigt.
Béranger regarde son doigt, hésite puis
obéie.
-
Couchée.
Elle s’allonge au pied de Changbu.
-
Blondasse que peux-tu me proposer.
-
Vous servir, maitresse. Tout ce que vous
désirez.
-
Nettoie mes pieds !
-
Oui maitresse.
Elle prend délicatement un pied chocolat
clair commence par le caresser et suce le gros orteil comme on suce une bite.
Elle a de quoi faire. Changbu a de très jolis pieds, toujours doux et
parfaitement soignés suivant mes instructions, mais de grands pieds, et son
gros orteil remplit bien la bouche. La plante de ses pieds n’a aucune callosité
et fait de charmants plis des orteils jusqu’aux talons. Un bonheur pour qui
aime les pieds. Changbu m’a déjà parlé du plaisir de puissance qu’elle ressent
quand une fille se couche à ses pieds pour les adorer.
-
Bouge, que je puisse placer mon autre pied entre
tes jambes.
Du bout du pied, Changbu branle le
clitoris.
-
Tu aimes ça ma putain, tu es encore plus trempée
que tout à l’heure.
-
Oui maitresse.
-
Tu as entendu Yeowang. Je n’ai pas le droit de
jouir, alors toi non plus sinon gare.
-
Oui maitresse.
Sous la stimulation clitoridienne,
Bérengère pousse de petits soupirs. Changbu enfonce le bout de son pied dans la
chatte, fait quelques allés retours, puis le retire.
-
S’il vous plait maitresse continuez.
-
Regarde, espèce de putain, mon pied est
dégelasse. Nettoie ta merde.
Elle place son pied dans la bouche de sa
soumise et place l’autre dans l’entre jambe.
Bérengère lèche et suce avec dévotion et
son bassin ondule sous l’autre pied. Amkae est maintenant entre mes cuisses et
m’amène vers mon premier orgasme de la soirée. Changbu s’adresse à moi.
-
Elle aime mes pieds sales cette putain.
-
J’en ai bien l’impression.
-
Cette pute va jouir sur mon pied.
-
Tu aimes avoir une soumise blanche.
-
Les bourgeoises blanches sont les plus salopes.
Vous allez voir Yeowang.
-
Putain, je suis sûr que tu as un vibromasseur
ici. Va le chercher.
Béranger quitte à regret son poste et
revient avec un jouet noir de taille standard.
-
Putain, à quatre patte et suce le.
Changbu en profite pour utiliser son dos comme repose
pied. Après quelques minutes, elle prend le sex-toy dans sa bouche.
-
Ecarte bien les fesses, blondasse.
Bérangère place ses mains sur ses fesses
pour offrir son anus. Changbu n’a pas trop de mal à renter le vibromasseur au
maximum. Elle l’allume et immédiatement le bassin s’agite.
-
Maitresse pitié, je vais jouir.
-
Tu n’as pas intérêt. Au restaurant j’ai dû aller
chier. Je ne suis pas sûr d’être toute propre. Viens me nettoyer le cul avec ta
langue de pute.
Changbu se retourne. Sans hésiter,
l’esclave écarte les fesses noires et musclée pour y glisser sa tête.
-
Enfonce ta langue de putain, nettoie bien au
fond.
De mon côté, je suis à mon deuxième
orgasme. Je vois notre hôte serrer les cuisses aux maximum pour retenir son
désire et faire le maximum pour service l’anus de sa maitresse. Cette dernière
ronronne de plaisir, et se caresse la poitrine. Sa main descend parfois vers
son sexe et remonte immédiatement. Elle me regarde, implorante pour que je
l’autorise à jouir. Non je suis la seule à avoir ce droit. J’ai une idée pour
intéresser le jeu. Je place Amkae à mes pieds, j’écarte les cuisses, je claque
des doigts en direction de Changbu et lui désigne mon sexe à servir. Elle vient
vers moi à petits pas, la blonde greffée à son cul, les bras entourant la
taille, la suit à genoux. Devant moi, Changbu se met à quatre pattes et fourre
son visage dans ma féminité. Je sens dans ses coups de langues qu’elle se
contrôle au maximum pour ne pas jouir. Elle a du mal à bien me servir. La
situation m’excite tellement que cela n’a aucune importance. Bérengère est
tendue comme un arc par les vibrations de plug. Au moment de jouir, je
m’agrippe à la chevelure de Changbu et plaque sa tête contre mon sexe. Son nez
me pénètre. J’explose sur elle. Quand je la relâche, Changbu retire violemment
la tête plantée dans son cul et crie presque.
-
Arrête immédiatement.
Je demande.
-
Bérengère, veux-tu jouir ?
-
Oui, s’il vous plait oui laissez-moi jouir.
-
Et toi Changbu ?
-
Oh oui Yeowang.
-
Faites jouir Amkae et ensuite, je vous autorise.
Rapidement Changbu donne ses instructions. Elle sur
la chatte de sa copine, Bérangère lui bouffe le cul. Amkae s’occupe maintenant
de mon sexe. Nous jouissons toutes les deux ensemble. Changbu se retire et
regarde la blonde.
-
Toi la putain, viens me bouffer la chatte.
Ensuite tu pourras jouir à ton tour en me léchant le cul.
Moins de deux minutes plus tard, Bérengère
a le visage remplie de mouille de sa maitresse. C’est à son tour de venir
maintenant. Changbu se retour, et elle se précipite lui bouffer le cul comme
une affamée. Elle jouit presque immédiatement. Tout le monde est affalé dans
les fauteuils ou le canapé. Après avoir repris son souffle, Bérengère, pose
délicatement un baiser sur chaque pied de Changbu.
-
Merci maitresse, ce fut magique. Un superbe
orgasme.
Changbu lui fait signe de monter vers elle, l’embrasse
à pleine bouche. Elle éteint ensuite le vibromasseur, le ressort du cul et le
présente à la blonde.
-
Nettoie-le devant moi.
Bérengère le prend en bouche et le nettoie
méticuleusement.
-
Vas te laver la bouche et revient.
A son retour, Changbu lui ordonne.
-
Fait moi jouir par le cul.
Elle se met en position et fait son
possible pour satisfaire sa nouvelle maitresse. Des yeux Changbu attend mon
accord pour jouir. Accordée. Une fois son orgasme obtenue, elle tenir sans
ménagement la blonde plantée entre ses fesses.
-
Va voir ma copine et met ta langue de pute à son
service.
Changbu s’assoie devant moi et commence à me sucer
les orteils. J’écarte les cuisses et elle remonte pour servir mon puit d’amour.
Bérengère regarde hypnotisée sa maitresse redevenir mon esclave. Elle se dirige
à quatre pattes vers Amkae.
-
Madame, Puis avoir l’honneur de vous
servir ?
-
Je te demanderai bien de me lécher la chatte,
mais tu as la gueule pleine de merde. Alors bouffe-moi le cul. Tu es juste
bonne qu’à ça.
Je vois Bérengère rougir de honte, ne dit
rien et se met à l’œuvre. Comme à son habitude quand elle a une langue lui
chatouillant l’anus, Amkae écrase un pet sonore sur le visage de la blonde qui
ne semble pas en être incommodé. Amkae ne résiste pas longtemps et jouit rapidement.
-
Maintenant nettoie mes pieds la blondasse.
Comme Changbu, elle a de jolis pieds parfaitement
entretenus. Bérengère reste un long moment aux pieds d’Amkae. Je sens la
fatigue et je mets fin à la soirée.
-
Alors Bérengère, heureuse ?
-
Oui, Merci les filles. Vous m’avez poussée
vraiment loin dans la soumission. Je n’imaginais pas que deux soumises
pouvaient devenir des maitresses aussi dures et exigeantes. Ça a été fabuleux.
Un tour à la salle de bain pour une bonne
douche et nous allons dans la chambre de Bérenger où un lit très grand format
nous attend. Changbu prend la parole.
-
Ce soir il ne fait pas froid, mais tu vas quand
même me servir de bouillote ma petite putain. Tu t’allongeras au fond du lit,
nous aurons plus de place.
Au réveil, Bérengère a la tête d’une
personne qui n’a pas bien dormis. En partant, elle nous donne à chacune une
carte de visite.
-
La porte est toujours ouverte pour vous. Passez
quand vous voulez, ensemble ou pas.
Elle se dirige vers Amkae et l’embrasse
sur la bouche.
-
Heureuse de te connaitre.
-
De même pour moi, Madame. Merci pour votre
accueil.
Elle va ensuite vers Changbu, lui prend la
main et la baise.
-
Merci maitresse pour cette délicieuse soirée.
Changbu la prend par la taille et l’embrasse à pleine
bouche.
-
Merci Bérengère, j’ai passé une fantastique
soirée ici avec toi.
Enfin elle se dirige vers moi. Je la
prends par la taille et l’embrasse avec fouge et passion.
-
Merci Kim de m’avoir permis de vivre mon
fantasme. Me donneras-tu ton secret pour réussir à dominer deux lionnes.
-
Merci à toi pour ton invitation Bérengère.
Nous quittons à regret cette belle maison
bourgeoise et sa charmante hôtesse pour retourner à Nantes.
Auteur:Didier
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